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Business Development Manager : Amélie Arnould
Chargé de communication : Clémentine Lombard
Community Manager : Eloïse de la Maison
Digital Campaign & SEO Specialist : Victor Jouniaux
Digital Project Manager : Charley Bouzerau
Directeur de la vidéo : Maïkel Marcos Vega
Knowledge Manager : Isabelle Royer
Senior PR Account Manager : Pierre Poinsenet
Webmaster : Eloïse de la Maison
Interview de Maïkel Marcos Vega, directeur de la vidéo chez Ooreka.fr
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Après mon Bac, j’ai intégré l’école de commerce Neoma. Après un an, j’ai décidé d’arrêter, survoler des concepts et me payer un diplôme, c’était pas mon truc. J’ai enchaîné avec une licence espagnole, et comme je ne souhaitais pas devenir prof, je me suis tourné vers le Master GMI, c’est ainsi que j’ai intégré la 2ème promo.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Étudiant, j’étais déjà pas mal attiré par Internet et l’image que je me faisais du monde du travail dans le digital me plaisait pas mal : un espace d’expression, d’apprentissage rapide, de multi-compétences et de nouveaux métiers à créer… et aller bosser en jeans et basket !
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez –vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
C’était en 2008, je souhaitais rejoindre Paris qui, à l’époque, regroupait 90% des boîtes web fr. J’ai intégré Ooreka.fr en tant que stagiaire rédaction. On m’a proposé un CDI à la fin des 6 mois de stage.
Au fil des années et dans la même boîte, j’ai été Éditeur, Coordinateur éditorial puis Directeur de la rédaction. Depuis 2 ans, je suis Directeur de la vidéo, toujours chez Ooreka. J’ai pu évoluer tous les 18 mois, une vraie chance. Faisant partie du noyau dur, j’ai également participé aux discussions lors de la vente de Ooreka.fr au groupe Solocal (PagesJaunes.fr, Mappy.fr, etc.).
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
S’il y en a une à mettre en avant, c’est ce réflexe de synthèse, compétence que j’utilise dans tout ce que je fais : présentation, reporting, brainstorm, benchmark, management…
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
Un peu dans le désordre :
– Un esprit critique et synthétique;
– Innover en continu;
– Une analyse chiffrée comme socle d’un argumentaire;
– Think out of the box;
– Search Engine Optimization.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
Le numérique c’est un peu vague. Aujourd’hui, le digital est quasi dans toutes les boîtes, Nexity construit des immeubles mais a une branche digitale transversale : marketing, CRM, data, ads.
Le seul conseil qui me semble important de ressortir ici, c’est de trouver une entreprise qui partage tes valeurs. Tu auras beau aller dans la boîte qui te fait rêver, si pour elle l’échec c’est juste un échec, alors que pour toi ça prouve que tu as juste essayé quelque chose de nouveau, c’est foutu. « Fail fast, fail often », une autre façon de dire « Innover ». 😉
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
J’invente mon métier toujours les jours, je rencontre énormément de monde, le digital est en perpétuelle évolution.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques, … lors de votre parcours professionnel ?
La plupart des outils que j’utilise tournent autour du SEO et ils ont plutôt évolué : SEMrush, Yooda, SimilarWeb, Google Trends/Adsword.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez est porteuse d’avenir ?
Chez Ooreka.fr, on fait du contenu, que ce soit des articles, de la vidéo, du brand content, de la pub…. Et le contenu est ROI pour Google (ROI à lire « roi » mais aussi « Return On Investments ») et quand tu plais à Google, t’es tranquille.
- Le mot de la fin ?
Le stage de fin d’année qu’offre le master GMI est la première marche du long parcours pro. Passez une dizaine d’entretien, avoir le choix c’est très important.
Interview d’Eloïse de la Maison, Webmaster/Community Manager freelance
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Après un bac L en spécialité arts plastiques, je me suis rendue compte que c’était les langues vivantes qui me plaisaient plus que tout. N’arrivant pas à arrêter mon choix sur une seule langue, je me suis dirigée vers une licence de Langues Étrangères Appliquées, qui me permettait d’en pratiquer plusieurs. C’est à l’occasion d’un stage dans une librairie du fin fond de la campagne espagnole que je me suis rendue
compte de l’importance bien concrète de la communication sur internet pour une entreprise.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Jamais je ne me suis formulé cela, en vérité. Je me suis toujours dit que je voulais travailler dans un domaine qui me plaise, évidemment. Mais pour moi, le digital, c’est la forme, et non le fond. On peut se rêver en webmaster d’un musée ou d’une salle de concert, sans s’imaginer un seul instant occuper le même poste dans une entreprise qui fabrique des boulons… ou chez Total. Je dirais plutôt que je trouvais intéressant d’étudier la communication digitale, sans pour autant vouloir que toute ma vie professionnelle ne tourne autour de cela.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
Après le master, j’ai travaillé pour un site de e-commerce où j’ai fait mille et une choses, du community management à la gestion d’équipe web, en passant par la mise en place de partenariats avec les marketplaces comme Zalando ou La Redoute. Mais les langues me manquaient. Alors, en parallèle, j’ai lancé une microentreprise et j’ai commencé à travailler comme traductrice sur des projets de bandes dessinées. Les choses ont fait que je suis devenue complètement indépendante, à l’automne 2015. J’ai quitté mon CDI et, en plus de la traduction, j’ai commencé à travailler aussi comme community manager/webmaster freelance. Et aujourd’hui, selon les jours, je suis amenée à faire de la rédaction, de la recherche documentaire… Toujours mille et une choses, donc, mais en toute indépendance.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
Je voyage beaucoup, alors, sans conteste, l’ICE (Intercompréhension des langues européennes apparentées). Ou la pragmatique de la communication. Bref, celles qui me paraissaient les plus abstraites pendant mes études s’avèrent aujourd’hui très évidentes.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
… Joker ! Cela dépend tellement des projets… Je vais donc répondre ce que l’on écrit toutes et tous sur nos CV et qui ne veut, au fond, pas dire grand-chose : la polyvalence. 🙂
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
D’être curieux. On ne peut pas se dire simplement « Je suis passionnée par Instagram, ce sera ça, mon métier. » On n’y réussira pas grand-chose si on ne s’intéresse pas un minimum à la photo, à la retouche d’images… Facebook et Twitter ne nous apprennent rien, en eux-mêmes. Ce sont les contenus qu’on y trouve qui peuvent potentiellement être intéressants.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
La polyvalence. 🙂 Ne pas avoir de routine.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Pas vraiment. Les usages, en revanche, évoluent sans cesse.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Je ne sais pas. En revanche, si je travaillais chez Total, je serais plutôt sûre du contraire et je me reconvertirais vite dans la culture de patates douces bio, quelque part en Amérique du Sud.
- Le mot de la fin ?
D’accord, mais un mot de la fin très cliché, alors : le plus important, c’est de faire quelque chose qui nous plaît et qui nous donne envie de nous lever le matin sans (trop) râler.
Interview de Victor Jouniaux, Digital Campaign & SEO Specialist pour la Fondation Solar Impulse
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
J’ai démarré mon cursus universitaire à l’URCA, où j’ai obtenu une licence LEA anglais-allemand avant d’intégrer le master.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Au cours de ma licence (2006-2009), le domaine du web se développait à vitesse grand V et de nombreux nouveaux métiers sont apparus. Ces métiers ont éveillé ma curiosité et mon intérêt pour ce secteur.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
Je travaille actuellement comme Digital Campaign & SEO Specialist pour la Fondation Solar Impulse à Lausanne.
Après le master, j’ai travaillé au sein du groupe PriceMinister-Rakuten comme éditeur de contenu web puis en tant que chargé de projets webmarketing. C’est pendant ces 4 années d’expérience que j’ai commencé à me spécialiser dans le SEO (Search Engine Optimization). Puis je suis parti à Londres pour travailler chez ebookers, puis au sein du groupe EF Education First en tant qu’Analyste SEO pour les marchés francophones. J’ai ensuite été embauché comme Consultant SEO par Modis en région lyonnaise, société de services au sein de The Adecco Group.
Enfin, j’ai rejoint la Fondation Solar Impulse en mai 2018 pour m’occuper des campagnes digitales et de l’optimisation du référencement du site solarimpulse.com.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
En plus de m’avoir apporté une certaine ouverture sur le monde, le master GMI m’a permis de développer mon esprit de synthèse et d’analyse, tout en améliorant mes capacités rédactionnelles à la fois en français et en anglais. Ces compétences, alliées aux connaissances techniques comme le HTML, me servent au quotidien dans mon travail.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
Esprit d’analyse, compétences rédactionnelles, connaissances techniques et maîtrise des outils analytics.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
C’est un domaine passionnant qui évolue sans cesse, donc le plus important à mes yeux est d’être constamment en veille (informationnelle, stratégique, technologique) et ne pas avoir peur de se remettre en question. Ne pas hésiter à être mobile aussi, car il y a partout en France et à l’étranger de multiples opportunités très intéressantes à saisir.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Cette évolution incessante des technologies et des méthodes à adopter pour atteindre les objectifs. La possibilité de travailler dans des secteurs d’activité divers et variés est un autre aspect que j’apprécie tout particulièrement.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
De nombreuses ! Que ce soit au niveau des langages informatiques, des algorithmes de Google ou des outils utilisés pour les audits ou le suivi SEO, les évolutions technologiques font parties intégrantes de notre métier.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Complètement, la branche du numérique n’a pas fini de grandir. Les entreprises sont toutes tournées vers la transformation digitale désormais. Certains métiers actuels n’existeront peut-être plus dans quelques années mais de nombreux autres seront apparus d’ici là.
- Le mot de la fin ?
Merci au Master GMI de m’avoir permis d’apprendre et de développer des compétences recherchées. 🙂
Interview de Amélie Arnould, Business Development Manager chez American Express Global Business Travel
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Baccalauréat Littéraire, Licence LLCE Anglais puis une année en tant qu’assistante de Français au Royaume-Uni.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Cette question ne s’applique pas pour moi…c’était plus l’aspect commerce international et le fait de pratiquer l’anglais en entreprise qui me branchait dans ce Master.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
Après le master, j’ai été embauchée en tant que Chef de Projet Appel d’offres chez Oberthur Technologies. Réel poste équivalent à une personne diplômée d’école de commerce, il consiste à gérer les appels d’offres des sociétés (bancaires, téléphonie) du lancement à la soumission du projet, en lien avec tous les intervenants de la société (finance, marketing, légal, etc).
Ensuite, je suis entrée chez American Express Global Business Travel (la filiale voyage d’affaires d’American Express) où j’exerce un rôle similaire de gestion de projets à gros volumes, en tant que « Business Development Manager » aujourd’hui.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
Gestion de l’information et du contenu, développement de l’esprit de synthèse, pratique de l’anglais oral et rédactionnel.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
Un des objectifs du Master étant celui-ci : « Apprendre à synthétiser l’information, développer ses capacités rédactionnelles en français et en anglais », il correspond parfaitement à mon rôle aujourd’hui et ce qui est attendu de moi, l’esprit de synthèse, une bonne qualité rédactionnelle en anglais et français.
Il y a aussi un aspect visuel très important, car je réalise également des brochures et présentations clients. La communication est un aspect important de mon poste.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
Se renseigner sur les éventuels débouchés qui les intéresseraient, être surs qu’ils correspondent à leurs attentes, s’intéresser à l’actualité et je pense qu’il faut avoir de l’imagination pour toujours se renouveler et proposer quelque chose d’original en permanence.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
La pratique de l’anglais, l’interaction avec tous les services de ma boite, le côté créatif dans la rédaction des offres ou des présentations clients.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Le secteur de ma société se réinvente en permanence et propose régulièrement de nouvelles solutions technologiques pour nos clients.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Oui.
- Le mot de la fin ?
Le Master GMI a été une très belle expérience pour moi, ces deux années m’ont beaucoup apporté et m’ont permis d’accéder à des postes jusqu’alors accessible qu’aux écoles de commerce. Une belle preuve que les débouchés de ce Master sont vastes et prometteurs !
Interview de Clémentine Lombard, chargée de communication et de relations clients chez SCAPEST
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Une licence LLCE anglais.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Je n’associais pas forcément le parcours GMI au domaine digital avant d’intégrer le cursus, du moins pas de façon exclusive. Je pense que ce parcours forme aux métiers du web, c’est une évidence, mais il peut aussi ouvrir des portes dans le print, mais avec de solides compétences dans le digital (community management, approche du graphisme, techniques documentaires, programmation). Aujourd’hui, je ne travaille pas dans le digital, cette discipline ne représente qu’une partie de mes missions.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
J’ai passé deux ans dans une petite PME en qualité de chargée de communication, puis deux ans dans une régie publicitaire où j’ai occupé le poste de chef de publicité. Depuis un an et quelques mois, je suis chargée de communication pour le n°1 de la grande distribution. Je m’occupe de relayer et de mettre en valeur les offres, événements, et temps forts de 45 magasins de la région Grand Est.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
Toutes ! (ou presque 🙂 ). Même si toutes les compétences acquises lors du master n’animent pas mon quotidien, elles me sont utiles pour mes échanges avec divers interlocuteurs : agences de com print/web, community managers, développeurs etc.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
Créativité, réactivité, connaissances des supports de communication, veille, graphisme, leadership, connaissance des réseaux sociaux.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
Je ne suis pas vraiment légitime sur cette question car je n’ai pas choisi un métier 100 % numérique, mais je pense qu’il faut être curieux, « rester à la page », et ne pas s’enfermer dans une seule compétence.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
La diversité des missions, le fait de pouvoir appliquer ce que j’ai appris et ce que j’aime faire, dans différentes missions. Le côté « touche à tout » !
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Je ne sais pas si on peut parler d’évolutions technologiques, mais j’ai connu de nouveaux outils internes, comme des plateformes de partage ou des CRM avancés, mis en place dans le cadre de la com interne.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Oui ! Je pense que mon métier évoluera avec les tendances et les attentes des consommateurs, clients.
- Le mot de la fin ?
Je dirais que la « difficulté » du parcours GMI est aussi sa force : la diversité des compétences. Après mon diplôme, j’ai parfois eu l’impression d’avoir « touché » à beaucoup de choses, sans être pour autant spécialisée dans un domaine de compétences. Il faut absolument en faire une force, et faire de cette pluralité un atout dans vos recherches d’emplois.
Interview de Pierre Poinsenet, Senior PR Account Manager chez Zucker Communication
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Si je devais le résumer en un mot, je dirais atypique. Après un Bac S, je me suis lancé dans une prépa littéraire dont j’ai claqué la porte quand un professeur de philosophie m’a soutenu qu’un tyrannosaure se déplaçait à 4 pattes. J’ai donc « poursuivi » le DEUG d’histoire auquel je m’étais inscrit à la fac, en ne mettant jamais les pieds en cours et en voyageant à travers l’Europe pour participer à des compétitions de jeux vidéo. Après le DEUG, j’ai réalisé qu’il était peut-être temps de trouver un truc dont je pourrais vivre : j’ai misé sur ma passion pour les langues, passé une licence en Langues Étrangères Appliquées qui m’a permis de rencontrer la directrice du master GMI qui m’a dit « Hey, je crois que j’ai un master qui pourrait te plaire ».
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Je joue aux jeux vidéo depuis mon plus jeune âge, je créais des sites internet sur Dreamweaver alors même que la majorité des étudiants en GMI cette année n’étaient pas encore nés. J’ai toujours été attiré par les nouvelles technologies, et j’ai eu pour moi la chance d’avoir un père qui partageait cette passion, ce qui m’a permis d’approfondir très rapidement mes connaissances et d’acquérir une véritable boîte à outils qui a fait de moi un passe-partout à défaut d’un expert. J’écris aussi depuis maintenant plus de 15 ans pour l’un des plus gros sites d’actualités de jeu vidéo en France, il était donc vraiment tout naturel pour moi de continuer dans cette voie.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
Je suis bien loin de Reims, et même si je dois avouer que ma ville natale et même parfois les bancs de la fac me manquent, je ne sais pas si je changerais quoi que ce soit dans mon parcours. Mon stage professionnel de fin de master m’a embarqué outre-Rhin pendant six mois : j’ai débarqué à Berlin en janvier 2010 par -20°C et avec 30 cm de neige dans les rues, et je n’en suis pas reparti. À l’issue des six mois de stage, la boîte de jeux vidéo dans laquelle je travaillais m’a proposé de convertir mon poste d’assistant relations presse en responsable des relations presse pour la France, et j’ai continué sur ce chemin pour occuper encore aujourd’hui un poste similaire, à un autre niveau de responsabilités bien sûr et dans une entreprise allemande gérant le marché allemand, preuve s’il en est que mon pari initial de quitter la France pour explorer une nouvelle langue a plus ou moins payé. Le chemin ne fut pas facile, j’ai zigzagué de rachats en plans sociaux en passant par de longues périodes de chômage ou de freelancing, mais aucun regret, ce fut à chaque fois une expérience dont j’ai pu tirer des leçons.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
J’ai envie de dire à peu près tout, et ce n’est même pas une fanfaronnade de propagande. Alors certes, j’ai débarqué dans ce master GMI avec des connaissances parfois plus avancées que les objectifs d’apprentissage (par exemple, je maîtrisais le PHP et le CSS quand nous devions simplement apprendre les bases du HTML, ce qui a bien changé depuis), mais j’utilise encore au quotidien ce que j’ai pu apprendre en intercompréhension des langues (je vis et travaille dans un pays dont je n’ai jamais appris à parler la langue), en gestion des bases de données pour tout ce qui concerne la gestion de mes contacts au sein de la presse, en linguistique pour manipuler les mots et trouver les formules qui font mouche pour pousser les médias à couvrir mes informations et bien sûr tout le pan technique, puisque je code et maintiens à jour des sites ou des blogs pour nos différents clients, voire même gère le réseau de notre entreprise en cas d’absence de notre technicien. Même l’ontologie, alors même que j’aurais été le premier à m’esclaffer si vous me l’aviez dit il y a 8 ans : j’utilise encore régulièrement les principes de base pour construire mes pitchs.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
En termes de compétences, une excellente maîtrise des langues orales et écrites, une aisance à prendre la parole en public, une très grosse culture générale, une curiosité à toute épreuve et surtout une bonne dose de créativité. Ce ne sont pas vraiment des compétences que vous apprenez dans le cadre du master GMI, mais les outils que cette formation vous fournit sont tout à fait en adéquation avec ce cahier des charges et vous permettent de faire votre boulot et de surtout bien le faire. Que serait un chargé de relations presse s’il ne savait pas gérer une veille pour reporter sur son activité ?
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
De manière générale, je conseille toujours aux jeunes gens que je croise qui veulent se lancer dans le numérique de ne jamais chercher à rentrer dans un moule, parce que le numérique vous laisse toujours la possibilité de vous faire votre propre place, son évolution exponentielle attirant toujours de plus en plus d’utilisateurs demandeurs de plus en plus de services. Ne vous lancez pas dans un master GMI avec dans l’idée de « devenir CM » ou pour « être un influenceur ». Découvrez-vous et voyez plus loin. Ne sous-estimez surtout pas la valeur des outils que vous allez apprendre à maîtriser pendant ces deux années : non seulement cela vous sera préjudiciable en vous faisant démarrer plus bas que vous ne le devriez, mais cela nuira aussi à tous les autres étudiants en réduisant la valeur de votre diplôme. Vous avez un océan de possibilités devant vous, le GMI vous fournira un petit esquif bien solide pour y faire face : ne vous précipitez pas sur la première offre venue.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Sans aucun doute son aspect touche-à-tout. Écriture, présentation orale, organisation d’événements, gestion de bases de données de plusieurs centaines de milliers de contacts, programmation, acquisition de clients, coordination d’équipes internationales… Les jours se suivent et ne se ressemblent jamais. C’est dur, c’est exigeant, c’est très compétitif, mais chaque succès est un véritable bonheur.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Ha, ça… J’ai envie de dire malheureusement et heureusement. On assiste en ce moment à la fin de l’agonie des médias papier, les médias en ligne peinent à trouver des solutions pour se renouveler et ne proposent que des modèles économiques défaillants, les réseaux sociaux sont devenus des agences de presse et des sources d’informations primaires (avec toutes les dérives que l’on sait, alimentées avec grand plaisir par quelques politiciens joufflus et hauts en couleurs), et on vit dans une société dans laquelle une demoiselle de 16 ans qui se maquille sur YouTube ou un jeune homme se dandinant de manière plus qu’évocatrice sur Tik Tok sont plus importants pour bien des marques qu’un article dans un quotidien papier diffusé dans toute la France.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Tant qu’il y aura des consommateurs, oui, sans aucun doute. Il faudra sans aucun doute adapter les fiches de poste pour ajouter un peu plus de gestion du marketing d’influenceurs, mais au final, le cœur du travail restera le même et je doute fort qu’il n’y ait plus, de mon vivant du moins, de média auquel parler.
- Le mot de la fin ?
Si Mme Perani vous botte les fesses, c’est pour votre bien. N’oubliez pas de rendre votre dossier d’ICE en temps et en heure, vous ne voulez pas voir ce que cela donne quand M. Castagne est vraiment en colère. Et plus sérieusement, je ne le dirai jamais assez : utilisez ces deux ans de GMI pour explorer l’étendue de votre potentiel et ne sombrez pas dans la facilité ou dans une voie de garage qui n’est pas à la hauteur de ce que vous pouvez faire en tant que jeune diplômé de ce master. J’étais un gamin paumé qui vivait sur ses acquis, et ce master m’a vraiment aidé en me faisant me rendre compte que je n’étais pas totalement perdu, mais que j’avais simplement trop de choix à disposition et que bon nombre d’entre eux n’étaient pas si sinistres que je le pensais. Il suffit juste de se lancer.
Interview d’Isabelle Royer, Knowledge Manager chez IDEMIA
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Bac L en 2001 puis j’ai passé un an aux États-Unis via le programme d’échange d’étudiants en lycée du Rotary Club. Diplôme honorifique d’un lycée américain en 2002.
En revenant en France, je me suis inscrite en DEUG d’anglais LLCE à l’UFR Lettres et Sciences Humaines de Reims – antenne de Troyes en 2004, puis licence d’anglais LLCE à Reims en 2005 car elle n’existait pas à Troyes à cette époque. Enfin, MASTER GMI 1 et 2 à Reims – première promotion du master GMI de 2005 à 2007.
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
De prime abord, je n’ai pas pensé que le GMI me ferait travailler dans le digital. En fait, c’est un genre d’effet secondaire. Mon but premier en intégrant le GMI était de travailler avec les langues étrangères, l’international, la documentation/les textes et donc la gestion des connaissances, la mémoire d’entreprise. Et il se trouve qu’aujourd’hui, cela se matérialise la plupart du temps par des outils de GED (Gestion Électronique des Documents) et donc le digital.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
Après le master, je me suis engouffrée dans la voie du KM, Knowledge Management, via la gestion et le contrôle documentaire, j’ai finalement trouvé un poste dans le département des logiciels applicatifs (software) d’une grande entreprise. J’y ai exercé différents postes et activités, certains n’étaient plus en rapport avec le KM mais toujours plus ou moins liés au moins en partie. Aujourd’hui, après 10 ans, une autre grande entreprise qui cherchait mon profil de Knowledge Manager, gestionnaire de documents et d’archivage m’a approchée et j’y suis depuis début octobre 2018.
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
Aujourd’hui, beaucoup de compétences acquises au cours du master me servent tous les jours : la méthode ICE m’a beaucoup aidée car je suis dans des multinationales. Outre l’omniprésence de l’anglais, j’ai dû faire des traductions techniques en italien et en espagnol. Certains contrats étaient en espagnol ou en allemand… L’informatique (la maîtrise de la suite bureautique de MS Office), alliée à la création et la gestion de site internet et la gestion documentaire occupent une place très importante. Les cours de synthèses et de rhétoriques ainsi que de communication me servent aujourd’hui dans la rédaction de lettres d’informations. Enfin, l’intervention d’un professionnel sur la programmation informatique me sert toujours car des développeurs de sites Internet sont mes principaux interlocuteurs pour mettre en place et configurer des sites de GED tels que sous MOSS SharePoint. La pédagogie et la rhétorique m’ont aussi aidée quand j’ai créé un module de formation des nouveaux arrivants et donc pour parler en public. Enfin, le travail en équipe de même que l’autonomie sont très importants et le GMI offre les deux.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
On attend principalement de moi un grand sens de l’écoute, de l’organisation, d’adaptation pour mettre en place des outils et harmoniser des méthodologies permettant de fluidifier l’information, simplifier l’accès à cette information et le travail au sein des équipes dans lesquelles je suis. Il faut être un bon communicant envers différents types de professions, être le pivot entre des équipes opérationnelles et des fonctions support sachant être autonome d’un côté et aussi travailler en équipe de l’autre. Les connaissances et compétences en MS Office, sites collaboratifs, sites de GED et méthodologie sont aussi très importantes. Enfin, les compétences linguistiques sont indispensables, plus particulièrement l’anglais. En un mot, on me demande d’être un facilitateur du travail de chacun au jour le jour. On me demande de faire du sur mesure par rapport à des contraintes internes telles que ce qu’impose les métiers des personnes concernées et des impératifs extérieurs tels que des standards internationaux comme les normes ISO. La notion d’amélioration continue est au cœur de tout.
Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
Il y a beaucoup de métiers différents dans le numérique, des spécialités très diverses. Cependant, il n’est point besoin d’être un geek ou un expert en informatique ou en programmation pour être capable de travailler dans ce secteur. Nous sommes des personnes qui pouvons apporter de l’aide, du support, de la méthodologie aux équipes qui n’en ont pas le temps ou l’envie afin d’améliorer la qualité de leurs productions.
Mon conseil serait d’explorer toutes les possibilités du/des métiers qu’il vous plairait d’intégrer. Bien sûr, il est possible de choisir un métier spécifique, je dirais « mono-tâche » et c’est très bien.
Cependant, si votre choix de métier est moins spécifique, dites-vous que nous avons une grande force et compétence que le GMI nous apporte, nous sommes très polyvalents. Si c’est ce que vous choisissez comme voie, alors il ne faut pas baisser les bras car OK nous ne remplissons pas une case bien particulière mais nous sommes des employés qui avons des compétences diverses dont les entreprises d’aujourd’hui ont besoin et nous sommes très adaptables. Alors, il faut juste faire bien attention à ne pas se perdre en chemin et essayer de toujours revenir à ce que l’on souhaitait à l’origine.
Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Ce qui me plaît le plus dans mon métier est à la fois d’organiser et de faciliter le travail de mes collègues au quotidien en créant des systèmes/supports documentaires qui les aident à remplir leurs missions et à prendre des décisions ainsi que d’être au centre de métiers/professions/équipes différents et de faire en sorte que tout le monde marche simplement ensemble dans le même sens.
Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Oui. Dans mon ancienne entreprise, j’ai démarré en 2008 et le système d’exploitation de nos ordinateurs était Windows XP à l’époque. Ensuite, nous sommes passés à 2003 puis 2007 rapidement, enfin, dans les derniers temps, nous avons fait un bon technologique pour être migrés sous Windows 365 avec la suite office 2016, ce dont je me sers aujourd’hui tous les jours au travail.
De plus, j’ai créé des systèmes de GED sous MOSS (Microsoft Office SharePoint Server) 2007 d’abord puis 2010. Aujourd’hui, MOSS existe sous sa version 2015. Enfin, mon ancienne entreprise était dans le domaine de la haute technologie informatique et logicielle et j’ai vu mes collègues évoluer avec les différents langages informatiques (C, C++, Java, dotnet, …, le paiement sans contact, paiement mobile ainsi que la biométrie) et les nouvelles méthodologies de travail tel que l’Agile (scrum).
Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Oui. Aujourd’hui la profession de Knowledge Manager n’est toujours pas un métier conventionné, les conventions collectives ne l’ont pas encore créé ou intégré dans leurs grilles. Néanmoins, le besoin des entreprises en gestion « électronique » des connaissances, de l’information, de la documentation et en organisation, en méthodes harmonisées grandit tous les jours, surtout toutes les données/métadonnées qui surgissent tous les jours. Elles s’inscrivent dans des systèmes d’amélioration continue afin de gagner en efficacité tout en se conformant aux exigences des clients via des standards internationaux indispensables pour certifier leurs produits et/ou services. Nous mettons de l’huile dans les rouages et chaque seconde de gagnée se traduit par des économies pécuniaires et le budget est une préoccupation perpétuelle d’une entreprise.
D’autres métiers liés au numérique qui peuvent être des débouchés du GMI sont également porteurs tels que les Webmasters, les Community Managers, les chefs de produits marketing, les chefs de projets digitaux, les gestionnaires de données et métadonnées, les créateurs de sites et de contenus, les modérateurs, les référenceurs, la veille, …
Le mot de la fin ?
Nous sommes inondés d’informations diverses et variées ; l’accès à l’information, sa maîtrise et sa transmission sont aujourd’hui critiques pour nous tous et encore plus pour les entreprises. Aujourd’hui, il est plus facile de changer de poste et d’entreprise qu’avant, de faire évoluer son poste par rapport à avant, et la gestion et le maintien de l’information et des savoir-faire associés est primordial.
Interview de Charley Bouzerau, Digital Project Manager chez Foreo
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- Quel a été votre parcours avant d’intégrer le master GMI ?
Bac ES – Hypokhâgne – Khâgne – L3 Anglais FLE (LLCE)
- Comment avez-vous compris que le digital était le domaine dans lequel vous vouliez travailler ?
Au cours de mon année de L3 Français Langue Étrangère, j’ai commencé à avoir des doutes sur mon envie de devenir prof. Une présentation sur le master GMI a fini par me convaincre qu’il y avait une place à prendre en entreprise pour les profils « littéraires », et que le numérique était une excellente porte d’entrée.
- Où en êtes-vous aujourd’hui ? Pouvez-vous présenter votre parcours après le master et votre métier actuel ?
J’ai effectué mon stage de fin d’étude à Barcelone comme éditeur/rédacteur SEO.
A l’obtention de mon diplôme, je suis parti en Chine où j’ai rapidement trouvé un poste de SEO manager dans une trading française orientée B2B ; 2 ans.
J’ai ensuite été recruté par le groupe suédois LELO AB (foreo.com et lelo.com) comme chef de projet webmarketing, SEO et eCommerce, pendant 4 ans.
Je suis rentré en France il y a quelques mois, je suis en recherche d’un poste de consultant webmarketing in-house (chez l’annonceur).
- Quelles compétences acquises pendant le master GMI vous servent encore aujourd’hui ?
La gestion de projet, le HTML, certaines bases de SEO, la veille.
- Quelles sont les principales compétences/connaissances attendues dans votre travail ?
La gestion de projet principalement, la capacité à résoudre des problèmes au quotidien, à coordonner une équipe.
Être au fait des dernières tendances en matière de marketing numérique et de eCommerce.
Une expertise absolue de Google Analytics, de Google Adwords. Maitriser le HTML et posséder des bases de JavaScript pour Google Tag Manager.
Avoir de bonnes bases en Photoshop m’a beaucoup aidé également.
Travailler dans une entreprise internationale demande d’avoir un anglais irréprochable.
- Avez-vous des conseils à donner aux étudiants qui voudraient s’orienter vers le numérique ?
Lancez votre site, blog, et familiarisez-vous avec Google Analytics, Google Adwords, le Split Testing, le SEO… Faites des tests, expérimentez par vous-même.
Abonnez-vous à des newsletters utiles, cela vous changera la vie (UX.cc, Moz, Hubspot…). D’ici 4 ans, la plupart des choses que vous aurez apprises en GMI seront déjà obsolètes. C’est un secteur qui évolue très vite, ça rend les choses difficiles, mais c’est aussi ça qui est intéressant, il faut donc suivre l’actualité de très près pour ne pas être dépassé.
- Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans votre métier ?
Les métiers du web ont la particularité de s’appuyer constamment sur des données tangibles. Le moindre changement sur un site peut influencer votre SEO ou votre taux de conversion eCommerce. C’est très gratifiant de pouvoir mesurer l’impact direct (et quasiment en temps réel) de votre travail sur les performances de votre entreprise.
- Avez-vous connu des évolutions technologiques lors de votre parcours professionnel ?
Oui. Comme expliqué plus haut. La plupart des méthodes de travail aujourd’hui sont différentes de quand j’ai commencé à travailler, grâce aux progrès technologiques. À titre d’exemple, le SEO de 2018 n’a plus rien à voir avec le SEO de mes début en 2011.
- Considérez-vous que la branche dans laquelle vous travaillez soit porteuse d’avenir ?
Assurément. L’UX design en particulier est en train de prendre de plus en plus d’importance.
- Le mot de la fin ?
Partez à l’étranger après votre master, si vous le pouvez ! Vous en reviendrez grandis !